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Il y a longtemps, dans un village entouré de montagnes, vivait un jeune homme nommé Banka. Né dans une modeste famille de pêcheurs, il avait grandi le long d’une petite rivière. Chaque jour, il aidait son père à pêcher, vivant une vie simple mais remplie de sagesse et de leçons apprises au fil de l’eau. Banka rêvait de bien plus que sa petite rivière. Il savait au fond de lui qu’il était destiné à accomplir de grandes choses, même si son environnement semblait limité. Certains dans le village le voyaient avec admiration, mais d'autres, remplis d'envie, le critiquaient, estimant qu'il était prétentieux de penser qu'il pourrait atteindre l’océan, cette vaste étendue qu’il rêvait de conquérir. Un jour, Banka décida de quitter le village pour poursuivre ses rêves de devenir un grand pêcheur sur les océans. Avant de partir, son père, un homme de peu de mots mais de grande sagesse, lui dit : « Mon fils, même si tu es né dans cette petite rivière, ne sois jamais effrayé lorsque tu te retrouveras dans l'océan. Souviens-toi que les hommes réparés, ceux qui ont appris des difficultés, ne détestent jamais la réussite des autres. Garde cela en tête. » Banka commença son voyage. Il connut des moments de doute, de fatigue et d’épreuves qui auraient pu le faire abandonner. Mais chaque obstacle, au lieu de le briser, devenait pour lui une leçon, une nouvelle compétence, une force supplémentaire. Il réalisa que chaque difficulté n'était pas une fatalité, mais une école où il apprenait à devenir plus fort. Durant ses aventures, il rencontra de nombreuses personnes : certains l’encourageaient et d'autres tentaient de le décourager, le jalousant pour sa persévérance. Un homme en particulier, envieux du courage de Banka, tentait sans cesse de l’abattre, lui disant que ses rêves étaient hors de portée. Cet homme, rongé par la haine, ne voyait en Banka que ses erreurs et ses défauts. Chaque fois que Banka réussissait une nouvelle étape, cet homme trouvait un moyen de le rabaisser. Mais Banka resta confiant et constant, se rappelant les paroles de son père. Il savait que la haine des autres ne pouvait pas définir sa valeur. « Si Dieu veut t’élever, » se répétait-il, « le diable viendra te faire croire qu’il peut faire mieux. » Mais Banka n’avait jamais été impressionné par les faux espoirs et les distractions du diable. Il resta concentré sur son but, ne laissant pas les critiques ni la jalousie des autres l’abattre. Un jour, après des années de lutte et de travail acharné, Banka réalisa son rêve. Il devint un pêcheur respecté et prospère sur les plus grands océans. Il retourna dans son village natal, non pas pour prouver quoi que ce soit, mais pour montrer aux jeunes qu'il n'y a pas de limite à ce que l’on peut accomplir, même lorsqu’on vient d’une petite rivière. Les villageois qui l'avaient soutenu étaient fiers de lui, tandis que ceux qui l'avaient critiqué restaient dans l'ombre de leur jalousie. Banka, quant à lui, ne garda jamais de rancœur contre ceux qui l'avaient méprisé, car il avait compris que les haineux ne savent voir que les défauts chez les autres, incapables de célébrer le succès d’autrui. Ainsi, Banka devint un symbole dans son village, la preuve vivante que les difficultés sont une école, non une fatalité, et que la vraie réussite vient à ceux qui persévèrent sans se laisser égarer par les voix négatives. Le roi Kong a parler.